Le Ranger (africain) urbain

« J’ai découvert les bottes Jim Green grâce à un ami engagé contre le braconnage, qui m’a fièrement montré sa paire d’African Rangers. Je ne savais pas encore que ces bottes allaient un jour me sauver la vie. » 

Le cœur de mon travail repose sur la sécurité et le service communautaire. Je patrouille souvent dans les rues de Johannesburg, traquant des criminels en pleine nuit. Et c’est lors d’une de ces nuits glaciales que mes African Rangers m’ont sauvé la vie.

C’est ici que commence mon histoire avec Jim Green.

Nous avions reçu des informations selon lesquelles un groupe de six voleurs de câbles en cuivre était en train de creuser près d’une ancienne voie ferrée. Faisant partie d’une équipe plus large, je me suis retrouvé dans un quartier délabré du West Rand, plongé dans le noir total à cause des coupures d’électricité. Ils avaient déjà bien entamé leur tranchée lorsque nous sommes arrivés. Le temps pressait, et nous devions agir rapidement. Nous avons commencé à nous approcher à pied, en restant discrets. Trois membres de l’équipe et moi avons pris un chemin à travers les buissons pour les contourner. Nous étions presque prêts à intervenir quand tout a dégénéré. L’un des guetteurs des voleurs a repéré l’autre équipe et a sifflé pour prévenir les autres. J’étais accroupi dans une tranchée quand deux suspects ont couru juste devant moi. Mon premier réflexe fut de me lever pour les poursuivre, mais une intuition m’a dit de rester immobile.

« Pour comprendre la suite, il faut savoir qu’il faisait nuit noire, il gelait, et nous n’utilisons nos lampes que dans les cas d’extrême urgence. Il arrive qu’on ne voie même pas sa propre main. »

C’est alors, à moins de trois mètres de moi, que j’ai perçu une ombre se mouvoir. Sachant qu’aucun membre de notre équipe ne se trouvait là, j’ai compris que c’était un suspect. Et c’était bien le cas ! Il était accroupi dans une tranchée à côté de la mienne, une arme de poing de 9 mm à la main (l’arme a été retrouvée sur lui après son interpellation). « Il ne m’avait pas entendu approcher à cause de la semelle souple (et extrêmement silencieuse) de mes African Rangers. » Et si j’avais poursuivi les deux fuyards quelques secondes plus tôt, il aurait très probablement tiré dans ma direction, presque à bout portant.

Je porte désormais mes African Rangers presque tous les jours depuis un an. Elles ont bravé la pluie, la boue et les rivières. Des buissons épais du West Rand jusqu’aux routes goudronnées de la ville, je ne les échangerais pour aucune autre paire de bottes.

« D’un Urban Ranger à Jim Green : merci de fabriquer un produit incroyable sur lequel je peux vraiment compter. »