Aventure en solo dans la forêt calédonienne

Assis au milieu de la bruyère, j’entends au loin les cerfs élaphes bramer et grogner, affirmant leur domination sur les biches et défiant tout jeune prétendant assez audacieux pour tenter sa chance…
Mon aventure avec les bottes Jim Green a commencé d’une manière peu conventionnelle, à travers l’écran de mon téléphone, en regardant Rose Anvil sur YouTube découper une paire de Razorbacks pour démontrer leur incroyable qualité de fabrication.
Ian “Woodsmon”
Lieu : Highlands d’Écosse
Instagram : @woodsmon
Pointure Jim Green : UK 7
Avant cette vidéo, je n’avais jamais entendu parler de la marque. Mais après l’avoir vue, je savais que je devais en avoir une paire. En allant sur le site, j’ai commandé une paire de Razorbacks et de Ramblers. À leur arrivée, j’ai été bluffé par la qualité artisanale de ces bottes – un véritable hommage à toutes les personnes qui y travaillent (vous pouvez être fiers de ce que vous faites !).
Je porte mes Razorbacks depuis plus de deux ans, et elles m’ont accompagné dans chaque randonnée et aventure. La dernière en date : une semaine en solo dans la forêt calédonienne des Highlands écossais. J’ai passé la semaine à randonner hors des sentiers, sans chemins ni routes, à travers des ruisseaux, des bruyères abrasives et des touffes d’herbe, avec 30 kg sur le dos. Mes Razorbacks Jim Green ne m’ont jamais lâché : maintien parfait des chevilles, aucun échauffement ni ampoule sur tout le trajet.
Je suis rentré de ce voyage avec des Razorbacks qui avaient besoin de soins. Elles portent de nombreuses marques, éraflures et entailles (rien qu’un peu de baume pour cuir Jim Green ne puisse arranger). Et en les regardant, chacune de ces marques raconte une histoire.
Quand je regarde une éraflure sur le bout du pied, je repense à ce moment, assis dans la bruyère, entendant les cerfs bramer au loin, revendiquant leur territoire. Une griffure sur le côté me rappelle ce moment où, debout sur des rochers, j’ai vu deux aigles royaux s’affronter dans un ballet aérien majestueux. Une entaille dans le cuir me transporte à cet instant où j’ai trébuché dans un ruisseau en montant une montagne pour admirer l’un des couchers de soleil les plus sublimes que j’aie jamais vus. En regardant la patine globale de ces bottes bien voyagées, je retrouve ce sentiment de paix et de communion avec la nature.
J’ai hâte d’ajouter encore des kilomètres à mes Razorbacks, d’enrichir leur histoire et mes souvenirs. Elles sont faites pour durer, et Jim Green compte désormais un client à vie – et plusieurs autres modèles sur ma liste d’envies !
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