Assis au milieu de la bruyère, j’entends au loin les cerfs élaphes bramer et grogner, affirmant leur domination sur les biches et défiant tout jeune prétendant assez audacieux pour tenter sa chance…
Assis au milieu de la bruyère, j’entends au loin les cerfs élaphes bramer et grogner, affirmant leur domination sur les biches et défiant tout jeune prétendant assez audacieux pour tenter sa chance…
Je porte mes Razorbacks depuis plus de deux ans, et elles m’ont accompagné dans chaque randonnée et aventure. La dernière en date : une semaine en solo dans la forêt calédonienne des Highlands écossais.
J’ai passé la semaine à randonner hors des sentiers, sans chemins ni routes, à travers des ruisseaux, des bruyères abrasives et des touffes d’herbe, avec 30 kg sur le dos. Mes Razorbacks Jim Green ne m’ont jamais lâché : maintien parfait des chevilles, aucun échauffement ni ampoule sur tout le trajet.
Une griffure sur le côté me rappelle ce moment où, debout sur des rochers, j’ai vu deux aigles royaux s’affronter dans un ballet aérien majestueux.
Une entaille dans le cuir me transporte à cet instant où j’ai trébuché dans un ruisseau en montant une montagne pour admirer l’un des couchers de soleil les plus sublimes que j’aie jamais vus. En regardant la patine globale de ces bottes bien voyagées, je retrouve ce sentiment de paix et de communion avec la nature.Pas un membre? Créer un compte
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